« Abigail BACH »
"" Mais alors, dit Alice, si le monde n'a absolument aucun sens, qui nous empêche d'en inventer un ? "
carte d'identité
# avatar : Final fantasy - Ligthning
# p'tit nom : Abigail Bach, Madame, Mme.Bach. Rien d'autre.
# née le : 12/01/1987 # et a : 27 ans.
# sexe : Féminin
# orientation sexuelle : Hétérosexuelle
# atteint par le virus : [ ] oui [√ ] non
# régime : Externe. Avec ses quatre petites pièces au-dessus d'un supermarché, elle aimerait bien éventuellement s'acheter une véritable maison. M'enfin. On y peut rien.
# club : Musique fort probablement.
# division : Professeur de français.
# façon de travailler : Rigoureuse, relativement sévère, mais très rapide pour les corrections.
# loisirs : Abigail c'est d'abord et avant tout une très grande lectrice. Particulièrement mordu de la littérature du vingtième siècle, elle dévore des livres à ne plus en finir. Elle adore également les petites nouvelles de quelques pages et s'adonne parfois à l'art de l'écriture (elle n'excelle cependant pas assez pour vivre de cela). Ensuite, Abigail c'est une violoncelliste. Si elle n'avait pas arrêté de jouer, elle aurait pu percer dans ce domaine et devenir une interprète de qualité. Il lui arrive de jouer entre ses cours dans sa classe. Elle a une affection toute particulière avec le compositeur Mendelssohn qui lui fait vivre un grand nombre d'émotions. Si on pourrait tout à fait dire qu'elle est une grande fan de l'observation. Elle épie les gens, les juges et se moquent d'eux en permanence. Hormis tout cela, elle semble relativement s'ennuyer la plupart du temps.
# phobies : Abigail n'a pas réellement des phobies majeures qui pourraient l'affecter. On pourrait toutefois considérer la peur de rencontrer les anciens membres de son gang. Bien évidement, elle est située à des millénaires de sa ville natale. Or, il lui arrive de veiller la nuit à penser à d'affreux souvenirs sur son histoire.
Inside the Miroir
Selon toi, te décrire est l’une des choses les plus fastidieuses qui soit. Longtemps tu as crue être quelqu’un alors que tu ne l’étais définitivement pas. Tu t’étais contentée prendre ce que les autres offraient et d’ensuite bâtir une personnalité qui marchait bien pour ton ancien groupe d’amies. Tu étais fausse, sèche et vide. Mais tu t’accrochais à cette autre personne très solidement. Car tu croyais que c’était les autres qui ne te comprenais pas. Tu dois encore sourire en pensant à cette absurdité que tu pouvais évoquer jadis.
D’abord, tu te définis comme une certaine intellectuelle. Bien que tu n’ais jamais excellé dans toutes les matières à l’école, tu aimes chercher dans les livres, trouver toutes sortes de théories et étudier. Tu trouves que la connaissance mène à bien des choses. Tu peux passer de longues heures devant un documentaire sur l’autisme comme tu peux passer des heures à faire des recherches sur la culture de la Corée du sud. Tu es passionnée par ces petites informations que tu n’as jamais eu l’occasion de réellement approfondir dans ton adolescence. Tu ne regrettes pas autant que tu crois que tu devrais. Tu as toute la vie devant toi et tous les livres du monde à fouiller et découvrir.
Tu peux également dire que tu es une personne assez ouverte d’esprit et optimiste. Tu es curieuse d’en savoir sur les autres, sur tes élèves et sur ton environnement. Tu habites dans le coin depuis peut-être bien longtemps, mais tu trouves toujours un moyen de te poser des questions sur ce qui t’environnes. Tu possèdes même un petit carnet enfin de noter les choses qui te paraissent les plus hallucinantes. Tu adores les autres cultures, tu en dévores. Et c’est probablement en raison de toute ces questions que tu parais relativement heureuse la majorité du temps. Tu réfléchis et cela de fait travailler ton cerveau. Tu ne cesses jamais et tu adores ça.
Tu cherches et tu cherches. Tu finis par te souvenir que tu es une personne très disponible pour tes élèves. C’est une telle évidence que tu oublis souvent de le mentionner. Tu tiens à tout pour leur réussite. Tu souhaites qu’ils ne passent pas par le sombre chemin que tu as décidé d’emprunter. Tu es prête à créer des exercices à la dernière minute ou encore à perdre quatre heures de ton existence pour aider ton élève.
Tu penses et tu te mets à soupirer. Tu es une personne qui parle très peu en dehors des classes. Et pourtant tu possèdes une voix chaleureuses et extraordinairement mélodique. Tu l’as obtenu après avoir fait de nombreuses heures de solfège. Tu es tout simplement dans l’incapacité d’exprimer tes pensées et tes émotions dans une certaine intimité avec les autres. Devant une foule cela te semble tellement banale. Beaucoup te seront jaloux de ce « défaut ». C’est donc pourquoi tu sembles relativement renfermée pour tes paires. Tu les écoutes attentivement mais tu évites de formuler des phrases trop longues. Tu as peur que l’on se moque de toi. Tu n’es pas timide, tu as simplement un peu peur des gens normaux.
Cela te mène à penser que tu n’as jamais eu de relation avec un homme. Tu rougis et tu te secoues la tête. C’est impossible. Tu ne peux te donner à un second être. Toutes ses pensées sombres qui t’arrivent parfois retomberaient sur l’autre. Tu serais probablement un fardeau. Alors c’est pourquoi tu n’as jamais été en couple jusqu’à maintenant. C’est vieux jeu, mais tu ne veux pas te risquer dans quelque chose d’aussi sentimental qu’est l’amour.
The Miroir
Quand tu oses t’admirer dans le miroir, la première chose qui t’épate toujours et encore c’est à quel point tu as changée. Tu as fini par grandir et devenir une véritable adulte. Longtemps tu as toujours cru que tu resterais dans ce petit corps, maigre et relativement musclé. Tu as longuement portée un visage hideux et empli d’une haine inexorable. Tu ressemblais jadis à un chienne enragée prête à même mordre son maître enfin de recevoir ce qu’elle souhaite le plus. Mais aujourd’hui, par un miracle, tu es devenue ce qu’on pourrait appeler une femme. Une femme pouvant être fière d’elle-même.
Quand tu te regardes dans cette glace, tu vois toujours cette longue et douloureuse cicatrise sur ta pommette. À chaque occasion, tu te dis que tu n’as pas raté ton coup. La blessure garde son aspect de violence malgré sa couleur plus pâle et proche de celle de ta peau. On pourrait quasiment croire de très loin que c’est une simple tache. Or, quand les autres te regarde de proche, ils ont souvent les sourcils froncés. Tu ne la caches pas. Tu portes ce fardeau de ta jeunesse. Et à chaque fois, tu soupires en la caressant.
Quand tes yeux détaillent ton visage, il remarque tes beaux yeux bleus. Aujourd’hui, ils évoquent beaucoup de sentiments positifs. Tu es même fière d’avoir d’aussi beaux yeux. Ils t’absorbent toi aussi. Tu finis par regarder tes fines lèvres roses ainsi que tes dents légèrement décalées, mais propres et blanches. Tu touches ton nez avec tes mains pour le cacher avant de le remettre à jour. Tu le trouves trop petit. D’autres te diront que c’est plutôt mignon. Tu n’aimes pas les choses « mignonnes » pour une femme de ton âge. Ton visage te semble rond alors qu’il est en réalité ovale. Tu tapes tes joues avant de te mettre à jouer dans tes cheveux assez longs. Ils sont roses, bien entendue. Mais un rose qui se mari avec ta couleur naturelle qui est le blond. Tu as longuement hésitée à te permettre une telle gâterie. Pourtant, tu es tellement satisfaite de cette couleur que tu as presqu’envie que les gens te remarque que pour cette couleur. Néanmoins, tu sembles plus jeune que ce que tu es réellement. La seule chose qui t’agace c’est qu’ils ondulent quand bon leur semble.
Quand tes miroirs plongent sur tes courbes, tu as l’impression d’être une autre personne à chaque fois. Oh bien sûr tu n’es pas la femme fatale de la cité. Mais tu possèdes un corps bien composé en forme de sablier (qui va et vient selon les saisons et la nourriture). Ta poitrine n’est pas grosse mais tu aimes mieux ça comme ça. Tu n’es pas du genre à vouloir que les autres te sifflent dans les rues. Tes jambes sont très blanches pour la plupart du temps et ça t’arrive d’enrager. Mais tu n’aimes pas les laisser reposer au soleil. C’est trop « mignon » selon toi.
Around the Miroir
« The first step : Happiness»
Quand tu es née, tu as crié. Tu as crié si fort que tu en as fait pleurer ta pauvre mère. Ton cri a percuté les parois de la salle d’hôpital et à résonner dans la salle d’attente, faisant ainsi battre le cœur de ton père. Cette petite boule humaine que tu étais venait tout juste de rendre la vie de deux jeunes adultes encore plus belle que jamais. Ton père était un jeune étudiant d’une université peu coûteuse d’Angleterre. Il n’avait qu’à peine vingt neuf ans lorsque tu es né. Cette journée-là, il avait manqué une entrevue qui aurait pu changer le court de ton histoire pour te voir, toi, cet accident que n’aurait pas dû, normalement naître. Ta mère, elle, était soulagée de voir que tout c’était bien déroulée. Elle était plus vieille que ton père de trois années. Elle travaillait dans un supermarché pas très loin de leur appartement. Elle n’avait jamais terminé ses études.
Quand tu es née, ta mère ne versait pas des larmes de douleur. Elle pleurait de joie. Elle se sentait si fière d’avoir donné la vie. Ton père, lui, avait crié de joie dans un murmure. Il avait eu si peur de te prendre pour la toute première fois. Étrangement, lorsque tu t’étais retrouvée entre ses faibles muscles, tu avais arrêté d’hurler. Tu t’étais contentée de respirer bruyamment. Tes parents s’étaient mis à chercher un nom qui te conviendrait. Ils en virent à la conclusion que Waltz te représenterait bien. Ils eurent cependant une certaine pensée pour les moqueries que l’ont aurait envers ton prénom alors ils changèrent pour Abigail. Et ainsi, les infirmières purent enregistrée ton existence dans les données du gouvernement. Tu étais destinée à devenir une valse mouvementée.
« The second step : Deathly Waltz »
Tes parents n’eurent jamais assez d’argent pour investir dans leur vie personnel. Mais toi, ils te donnaient tout ce qu’il possédait. Tu n’avais jamais rencontré les grands-parents de ton père. Ils n’avaient jamais voulu reparler à leur fils ingrat. Quant à ta mère, sa grand-mère venait souvent te rendre visite. Elle était douce et gentille. Jamais elle ne manquait te t’emmener faire une promenade. Pendant les cinq premières années de ta vie, tu ne parlais pas beaucoup. Tu admirais les paysages et il t’arrivait fréquemment de faire des dégâts. Cela faisait parfois rire tes vieux qui ne manquaient pas de te gronder.
Mais quand tu arrivas à l’école, les choses changèrent. Les autres n’aimaient pas les petites filles muettes. Tu t’étais donc mise à dos la plupart des élèves. Pendant les années de ton primaire, tu commences à garder une haine envers les humains. Pourquoi étais-tu donc mise de côté? Qu’avais-tu fait pour mériter un tel traitement? C’est environ vers la fin de ton éducation primaire que tu commenças à devenir une mignonne fourmi avec une langue venimeuse. Tu commenças à ce moment précis à découvrir le violoncelle. Tu abandonnas quelques mois plus tard, n’étant pas encore à la découverte de cette passion.
« The third step : Bullying. »
Et maintenant, tu étais devenue un monstre. Tu t’étais mise dans la tête de faire subir à d’autres les sentiments que tu avais vécus. Dans ton école public, tu t’étais mise à fréquenter une gang de rue. Uniquement de filles. C’est là que tu appris à fumer autant la cigarette et la drogue. Les soirées autour d’une bière ne manquèrent pas. Tu t’amusais souvent à intimider les autres, tu fuyais de l’appartement de tes parents pour commettre des méfaits et tu n’oubliais jamais d’échouer la plupart de tes cours. De toutes les façons, tes parents n’étaient jamais à la maison. Ils faisaient de leur mieux pour payer le loyer et t’offrir de la nourriture. Tu ne leur étais jamais reconnaissant. Tu n’avais pas compris à cette époque la valeur de l’argent. Tu les détestais. Tu voulais, toi aussi, avoir ses beaux vêtements. Tu voulais avoir une belle permanente pour une fois.
Plus les années avançaient, plus tu devenais une véritable délinquante. Tu ne manquais pas de piquer des crises de nerfs dans les cours. Tu manquais la plupart de tes examens pour fumer un joint et tu espérais trouver un moyen de voler de l’argent à tes parents pour t’acheter une nouvelle paire de souliers. Les choses devenaient incontrôlables. Tu étais devenue la chef de ta meute. Tu hurlais des insultes aux louves ennemies qui s’aventuraient dans ton territoire et tu ne manquais pas de leur donner de bonnes leçons. Tu avais l’impression que tout ceci te permettait de dépenser cette énergie négative que tu conservais. Tu y crois fermement à cette mauvaise méthode.
« The fourth step : The unbelieveble »
Tu oublis peut-être encore aujourd’hui que c’est en renversant ton cabaret que tout se transforma. Ce fut exactement à ce moment précis que tu rencontras ton professeur de littérature françâis. La première fois, tu n’avais rien dit. Mais la seconde, tu l’avais insulté et presque manqué de lui lancer ton bureau en plein visage. On t’avait heureusement arrêtée. Cet homme que tu détestais tant te suivait des yeux et t’observait. Il ne manquait pas de se moquer de toi en classe et de tes piètres notes. Plus l’année avançait, plus tu envisageais de sérieusement le tuer, ou du moins lui rendre la pareille.
Mais il t’avait sauvé, n’est-ce pas? Il t’avait retrouvé avec un joint entre les mains et il ne t’avait pas engueulé comme l’avait déjà fait tes parents. Il t’avait installé devant un bureau, avec un livre et t’avait demandé de tout lire. À la fin de l’histoire, tu t’étais mise à pleurer. Parce que tu avais compris par l’intermédiaire de cet œuvre tout ce que tu avais osé monstrueusement faire. Il t’avait ouvert les yeux sur la voie de la raison. Tu t’étais exprimée sincèrement. Et tu t’étais mise à aimer quelqu’un pour la première fois.
Lui, il avait dû quitter le lycée quelqu’un mois plus tard. Il n’était qu’un simple remplaçant. Et plus jamais tu ne l’avais revue.
« The fifth step : New life »
- Oh Abigail! Tu vas me manquer mon ange…
- Moi aussi, maman. Je t’aime.
Tu te souviens encore des yeux humides de ta mère en te voyant la valise à la main. Et ton père venait tout juste de t’appeler de son nouveau travail. Tu étais contente. Tu avais fini par terminer toutes tes études et enfin tu pouvais aller à l’université. Tu avais persévérée dans la musique et tu avais continué à lire et lire. Tu avais étudiée si fort et tu méritais. À ce moment-là, tu ignorais que tu deviendrais à ton tour professeur d’analyse littéraire.
C’était une voie, par contre, que tu étais sûre d’adorer.
In the Corner of the Miroir
# couleur : Rose profond.
# chiffre : 7, le chiffre de la perfection.
# animal : Elle a une certaine attirance pour les oiseaux exotiques. Si elle en avait les moyen, elle irait en dérober un en Amérique latine.
# nourriture : La découverte extraordinaire du poulet au beurre indien a suscité une véritable folie chez Abigail. Si bien qu'elle en commande quasiment à toutes les deux semaines (et peut-être même plus à chaque semaine). Autrement ceci, des bons vieux macaronis au fromage peuvent tout à fait subvenir à son besoin.
# boisson : Café, café, café, café.
# objet : La possession d'objets qui sont quasi transcendants est perçue très négativement au près de la jeune enseignante. Elle ne peut toutefois pas s'empêcher de porter une certaine admiration à son violoncelle.
# lieu : Les usines abandonnées. Malgré tout son passé, les lieux abandonnés reste un second chez elle.
# sport : Le kick-boxing ou la boxe. Ça lui rappelle les bons vieux jours.
# linge : Au travail, pantalon propre ou jupe en taille crayon avec un veston couvrant pour la plupart du temps un simple t-shirt. En dehors du pensionnat, le survêtement importe peu. Tout sauf la nudité est adopté.
# style musical : Exclusivement classique de nos jours. Il eut une époque ou le rap et le hip-hop dominaient sa liste d'écoute.
# matière scolaire : Oh le français bien sûr! Toutefois elle sait bien s'y prendre en matière de musique.
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx« Derrière l'écran »
bouyatchaka o/
Je m'appelle Coriiiee mais on me surnomme Princess. Ma date de naissance, c'est en 1996, ce qui fait que j'ai 18 ans. Enfin pas tout à fait mais je me considère déjà comme une presque adulte uhuh ~
# je suis arrivé/e sur le forum en Farfouillant dans le magnifique réseau qu'est google (BOUYA!)
# je le trouve : Joli, simple, bien organisé~
# les cookies ? si j'aime ça ? À en mourir!
# petit mot pour la fin : Les smiley vert offert sont juste affreusement hideux ._.