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 Il court il court, le renard

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Ayano Kurayami
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MessageSujet: Il court il court, le renard Il court il court, le renard EmptyLun 16 Déc - 18:07

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Il court il court, le renard ♪

L'armure du combattant était revêtue : un mini-short en toile noire, un débardeur gris recouvert d'un pull légèrement plus foncé, l'iPod fourré dans la poche kangourou du survêtement et les écouteurs enfoncés dans les oreilles, la brunette avait même pris le soin d'attacher ses cheveux aussi bien qu'elle l'avait pu, les nouant en une queue de cheval d'où s'échappaient quelques mèches s'obstinant à lui chatouiller les yeux. Cela devait faire un peu plus d'une demi-heure qu'elle courrait en non-stop, elle glissa sa main dans la poche de son pull, déverrouillant son mp3 pour s'informer de l'heure : 17h08, c'était donc ça, environ une demi-heure de footing qui méritait bien une petite pause. Ralentissant l'allure, Ayano chercha un banc du regard, en repérant un à quelques foulées de là. Le visage rougi par l'effort, elle traîna la patte jusqu'à l'objet tant convoité et, une fois à son niveau, s'affala dessus tout en respirant comme un phoque asthmatique.
Respireeeer.
Se laissant légèrement glisser vers le bas et fermant les yeux, la brunette resta un instant immobile, la tête rejetée en arrière et le reste du corps totalement détendu. Sa respiration reprit doucement un rythme régulier et son visage reprit un teint normal. Lorsqu'elle rouvrit les yeux, elle constata que le ciel avait revêtu son habit orangé, annonçant l'arrivée de la nuit dans peu de temps. La gamine quitta le banc avec regret, lâcha ses cheveux pour recouvrir sa nuque et éviter d'attraper froid, elle frotta ses paumes l'une contre l'autre en soufflant en leur creux pour les réchauffer. il commençait à faire frais.

Elle avait couru bien longtemps, ce qui la fit arborer un large sourire, signe de sa grande fierté. Pour une fois. Mais avoir couru beaucoup signifiait aussi devoir marcher beaucoup pour rentrer, et rien que d'y penser, un immense frisson de flemme lui parcourut l'échine. génial. Ses converses se laissaient traîner au sol, accrochant la poussière, ses jambes ne voulait plus en faire plus et la gamine ne demandait qu'à s'allonger dans le lit du pensionnat, confortablement enroulée dans sa couverture, accompagnée de ses colocataires. Alors qu'elle continuait de marcher tranquillement vers Hikage, la brunette fut interpellé par un jeune garçon habillé d'un large pantalon et d'un gros pull dont la capuche lui recouvrait la moitié du visage. ne pas regarder. Ce fut exactement ce que la gamine se répéta au moins une bonne centaine de fois dans sa tête, accélérant progressivement pour s'éloigner rapidement de cet individu qui l'effrayait un peu. Il ne restait pas grand monde dans le parc, et le regard affolé de la gamine ne ricocha que sur l'effrayant garçon et sur un plus petit qui le suivait. "Okay... respire. Ils vont rien te faire. ... si ? Haa ! Ok ok ok ... ... CASSE TOI." En tant que personne qui sait garder son sang froid, Ayano était ... nulle. Voilà. C'est pourquoi elle commença à courir comme une tarée pour essayer de semer le duo inquiétant. Essai lamentablement inutile puisque la fatigue qu'elle avait accumulée en courant tout à l'heure la ralentissait considérablement. Les deux garçons n'eurent aucune difficulté à la rattraper, et tout se passa tellement vite que la première année ne comprit pas totalement ce qui lui arrivait.
Le garçon à la capuche la fit tomber en la poussant hors du chemin, la faisant rouler-bouler dans l'herbe jusqu'à ce qu'elle se cogne contre un arbre. Le plus petit le rejoint et lorsqu'il fut au niveau d'Ayano, il la saisit par le col en lui réclamant son argent ou tout ce qu'elle avait de précieux sur elle.

« J'ai ... r...rien. »

Elle n'avait pas d'argent. Par contre, elle avait son iPod. Le garçon esquissa un sourire mauvais, décrochant d'un geste brusque les écouteurs que la brunette avait aux oreilles "et ça c'est quoi ?", il fourra ensuite sa main dans la poche du pull de la gamine, en ressortant fièrement le bien convoité.
shit.
Le mec se redressa en rangeant l'objet dans l'une des poches de son pantalon, regardant fièrement son acolyte et commençant à s'éloigner en riant. Le truc, c'est qu'Ayano a beau être une grosse peureuse, elle ne supporte pas de se laisser marcher sur les pieds. têtue. Elle se redressa en titubant légèrement, une main appuyée contre son front alors que tout semblait bouger de manière anormale autour d'elle. Grimaçant légèrement, elle enleva sa chaussure droite en manquant de s'étaler au sol et la lança de toutes ses forces sur le duo, touchant en pleine tête le gars à la capuche.

« Rendez moi mes affaires ! »
« Toi tu cherches la merde. »


La gamine déglutit et recula de quelques pas, regrettant aussitôt ce qu'elle venait de faire et espérant que quelqu'un puisse passer par là. Et c'est ainsi que les ennuis continuent.


Dernière édition par Ayano Kurayami le Jeu 12 Juin - 12:21, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Il court il court, le renard Il court il court, le renard EmptySam 28 Déc - 2:20

De chez lui au centre ville, du centre ville à la foret, continué un peu dans la foret en suivant le cour d'eau sur le chemin des randonneurs, de la foret au parc et du parc à chez lui. Voilà son parcours de footing de tout les jours. Tout oublié lors de sa petite heure de jogging du rock alternatif à fond dans les écouteurs qui sont bien accrochés aux oreilles il courait à la vitesse de la musique.

L'ombre de plus en plus grande des arbres venait lui cachait le visage du soleil. Le coureur était parti assez tard de chez lui et d'habitude passer dans le parc au moment du couché de soleil. Il sorti de la foret en direction du parc et pour ne pas avoir froid aux oreilles il mit la capuche de son large sweet gris et continua de courir. Il passa le parc et en fit un tour avant mettre les voiles vers chez lui. En passant la rue qui longée le parc il vu rapidement une jeune femme avec qu'une seule chaussure il regarda alors son visage, il était apeuré. Sasha s’arrêta et regarda la direction ou ce fondait celui de la fille. Le regard posé alors sur deux personnes, l'une avec la deuxième basket, qui manqué, devant. Son visage ne montrai rien de bon. Le coureur reposa alors son regard sur la jeune fille, tout en restant sur le côté.
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Kazuma Tsuki
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MessageSujet: Re: Il court il court, le renard Il court il court, le renard EmptySam 28 Déc - 22:05

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Il court il court, le renard
Une brise légère commençait à m'engourdir les bras. L'hiver commençait bel et bien à arriver mais, pourtant, j'étais toujours vêtu de mon débardeur rouge et mon bermuda. J'avais quand même mis mes gants rouges et blanc fétiche bien qu'il ressemble plus à des gants de combat. Mon casque blanc autour du cou me tenait un peu chaud mais, il faut l'avouer, je n'avais pas chaud du tout.

Perdu au beau milieu d'un parc avec mon sac à dos et ma valise, j'étais peu crédible, d'ailleurs je me sentais observé. Ce foutu bus indiquait pourtant bien « Hikage » non ? Alors, comment ai-je fait pour atterrir dans ce parc ? Je me posais la question depuis exactement une heure. Une heure que je cherche sans trouver la moindre petite trace. Bientôt il ferait nuit et je dormirais dehors comme un clochard, n'aillant pas trouver ce foutu pensionnat. J'avais la rage. L'endroit était peut-être magnifique avec ses couleurs d'automne qui s'estompe pour laisser place à l'hiver et sa neige si blanche. Je finis par renoncer et m'assis sur un banc. Prendre une veste dans ma valise me paraissait être une bonne idée, puis, je vis une fille sur le banc d'en face. Elle était essoufflée, cette fille faisait probablement un jogging mais, elle était jeune. Faisait-elle parti du pensionnat ? Laissant tomber pour prendre ma veste j'attendis sur le banc qu'elle parte loin devant et la suivrait. De toute façon, je n'avais rien à perdre. C'est donc tout naturellement que la jeune fille se leva et marcha. Moi, assis sur mon banc j'avais décidé d'attendre une minute avant de la suivre mais, elle se mit à courir

Je grommelais et me leva en vitesse pour ne pas la perdre de vue. Pour combler les choses ma valise perdue une roue. Cela ne m'empêcha pas de ne pas continuer. Tant pis pour la valise, j'en rachèterais une plus tard. J'accélérais le pas. Je l'aperçus non loin. Deux garçons se rapproché bizarrement d'elle. Cela me paraissait étrange jusqu'à ce que l'un la pousse dans l'herbe. De mauvais souvenir remontèrent en moi. Je ne voulais pas que cette jolie fille aie des problèmes avec ces deux mecs. De plus ils avaient l'air beaucoup plus âgés. En tombant elle s'était cogné contre un arbre. J'avais observé qu'un des deux hommes lui avaient retiré quelques choses de sa poche. Sans aucun doute, L'inconnue se faisait racketter . Je me mis à courir. Il lui fallait de l'aide. Un garçon était arrivé avant moi mais, n'avait rien foutu. Je m'interposais entre le coupable et la victime. J'attrapais les écouteurs qui pendaient de sa poche et les envoya sur la fille derrière en espérant qu'elle rattrape.

-On ne t'as jamais dit qu'il ne faut pas s'en prendre au plus petit que sois ?

Celle là, je ne la vit pas venir. Je me pris une bonne pêche dans la mâchoire. Enragé je me souvint des cours d'arts martiaux passés avec mon oncle. Je lui rendis son coup et le mit à terre avec une technique de judo. Mais ou était passé l'autre ? Ils étaient bien deux au départ ? Je m'étais laissé distraire et voilà qu'ils partaient  avec ma valise. Heureusement j'avais gardé mon sac à dos sur moi.

-Bandes de sales cons ! Et toi là, au sweet gris, tu ne peux pas rattraper ma valise au lieu d'admirer le spectacle !

Avec ma manche je m'essuya le léger flot de sang qui coulait de ma lèvre. Le gas ne m'avait pas raté et j'allais arrivé au pensionnat avec une marque. Je me tournais vers la jeune fille et bégaya quelques mots.

-T...tu...Tout va bien ? Tu n'as pas trop mal  à ta tête ?


Malgré les événements on ne me changera pas. Je serai toujours timide.

© Emy

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Ayano Kurayami
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MessageSujet: Re: Il court il court, le renard Il court il court, le renard EmptyMer 15 Jan - 14:11

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Il avait l'air vénère et Ayano se surprit à trembler et ce n'était sûrement pas de froid. Elle tourna d'un air affolé sa tête de tous les côtés, heurtant son regard à chaque chose pouvant ressembler à une personne, mais elle ne voyait que des arbres. L'idée de monter s'y réfugier lui traversa l'esprit mais lorsqu'elle essaya de faire bouger ses jambes, aucune des deux ne répondit à l'appel de son cerveau et elle resta plantée sur place, juste capable d'observer l'individu en colère s'approcher. je vais crever ici sans avoir pu goûter à tous les parfums de cookie du monde ... quel gâchis ... Dans un dernier élan d'espoir, elle détacha ses yeux chocolat de son agresseur et, à son grand soulagement, put apercevoir un garçon non loin. Il ne bougeait pas, et restait neutre face à la scène, ce qui eut presque le don d'énerver Ayano qui n'avait qu'une envie : se réfugier derrière cet inconnu. Ses lèvres se détachèrent avec une lenteur accablante, tremblant ridiculement, mais elle n'eut même pas la force de l'appeler à l'aide. Elle se contenta de croiser ses bras au devant d'elle, baissant la tête tout en fermant les yeux pour se cacher derrière un rideau de cheveux bruns. La gamine se préparait déjà mentalement à ressentir une grande douleur sur le haut de son crâne avant de venir épouser maladroitement le sol de son corps. couinement. « On ne t'as jamais dit qu'il ne faut pas s'en prendre au plus petit que sois ? » nyu ? La gamine ouvrit un oeil, puis deux, une vague d'espoir se répandant dans tout son corps mordu par le froid et la peur. Lorsqu'elle releva la tête pour tenter de voir ce qui se passait, elle se prit son iPod dans le visage avant qu'il ne tombe dans ses mains. Que ? La petite fourrra rapidement son bien dans la poche de son pull, repoussant sa frange qui l'empêchait de bien comprendre ce qui venait de se passer. Ayano aperçut un troisième garçon, qui ne semblait pas vraiment ami avec les deux précédents, ce qui la rassura fortement. La petite pensionnaire grimaca lorsque son sauveur se fit atteindre en plein visage, se sentant horriblement coupable du coup qu'il venait de recevoir, mais son attention fut captée par le deuxième voyou qui filait derrière tandis que son coéquipier venait de se faire mettre à terre. Elle plissa un peu les yeux et les écarquilla aussitôt, l'air étonné.

« Naniii ?! Une valise ..? »

L'ordure s'échappait avec une valise et l'inconnu qui était venu lui prêter main forte hurlait « Bandes de sales cons ! Et toi là, au sweet gris, tu ne peux pas rattraper ma valise au lieu d'admirer le spectacle ! » Ha. c'était. genre. c'était sa valise. ha. wouais. grande vague de culpabilité. Il saignait et sa valise venait de s'éclipser à cause d'elle et la brunette se sentit tellement coupable qu'elle tomba à genoux, le visage caché au creux de ses mains et un filet de larmes coulant silencieusement de ses yeux. « T...tu...Tout va bien ? Tu n'as pas trop mal  à ta tête ? »

« M...merci... je... j... je suis tellement d... désolée ! pour ta valise *snif* et... le coup que t...tu t'es pris. »

Elle n'y pensait pas vraiment pour le moment mais, effectivement, sa tête - bien que vide - avait reçu quelques dégâts qui se manifestaient par un léger trait d'hémoglobine ruisselant de sa tempe jusqu'au bout de son menton. Ajoutons-y le fait qu'elle avait l'impression que le sol s'éloignait alors qu'elle en était pourtant bien proche... je veux rentrer. Le lit. la couette. ses peluches. des cookies. un chocolat chaud. un bon jeu de zombie. & un gros dodo. C'est ce qu'elle voulait.

Elle essuya ses yeux puis son nez du revers de la manche, la tâchant et découvrant qu'elle saignait. La gamine leva la tête vers l'inconnu, un léger sourire effrayé prenant la peine d'éclaircir son visage.

« On va rentrer maintenant, hein ? »


Dernière édition par Ayano Kurayami le Jeu 12 Juin - 12:21, édité 1 fois
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Kazuma Tsuki
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MessageSujet: Re: Il court il court, le renard Il court il court, le renard EmptyMer 5 Fév - 21:08

....Je suis un caca qui ai supprimé ce post...Sorry
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Ayano Kurayami
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MessageSujet: Re: Il court il court, le renard Il court il court, le renard EmptySam 24 Mai - 17:58

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j'ai peur. Elle tremblait, sanglotait, et le sol ne cessait toujours pas de virevolter autour d'elle, malgré qu'elle soit pourtant bien près de ce dernier. Elle était effrayée, et elle s'en voulait beaucoup. mon lit, mon lit, mon lit, mon lit, mon l[...], elle ne pensait qu'à cet endroit, à ce petit matelas, à son oreiller rebondi, à sa grosse couette et à tous les épisodes d'anime qu'elle pourrait regarder en larvant larvesquement. Mais elle était dehors, le soleil venait de rayonner pour les dernières fois de la journée et il avait noblement laissé sa place au froid qui venait mordiller les mollets de la brunette. Le petit filet d'hémoglobine avait réussit à se frayer un chemin jusqu'à la commissure des lèvres d'Aya, et le goût métallique provoqua chez la gamine une sorte de légère panique. « On va rentrer maintenant, hein ? » Elle aurait aimé crier cette question, menacer l'inconnu si il refusait de la ramener jusqu'au pensionnat. Tout ça l'avait vraiment affolée et elle ne savait plus comment réagir, mais, pourtant, cette question avait été lancée d'une voix douce, tremblante certes, mais presque calme. Elle avait interrogé le garçon comme si c'était une question rhétorique, comme s'il était évident que "bien sûr, je vais te ramener".

La brunette se mordit la lèvre inférieure, les yeux tout humides, lorsque le jeune homme s'agenouilla devant elle. Elle ravala difficilement quelque chose qui avait fortement le goût de la culpabilité puis, elle s'efforça de délier ses lèvres, s'apprêtant à l'informer que « tout va bien, merci pour tout, je peux me débrouiller seule ! » mais il la prit dans ses bras après avoir souri triomphalement, sourire qui eut le don de lui réchauffer le cœur.

« Je... »

La voix de la gamine s'éteignit progressivement, incapable d'aller plus loin, tandis que les deux petits bras frêles vinrent à leur tour embrasser l'inconnu, au niveau de la taille. Le corps de la pensionnaire se détendit et cessa petit à petit de trembler, comme s'il venait d'être plongé dans un bon bain chaud. C'était agréable. Ayano ferma les yeux lorsqu'elle sentit une main se glisser dans ses cheveux, et elle resserra timidement son étreinte, fronçant les sourcils, forçant ses yeux à ne pas laisser de nouveau des larmes couler. "Oui, on va rentrer et boire un bon chocolat chaud. Toi et moi, et tu seras en sécurité." en sécurité. tu seras en sécurité. V-v-vraiment ? La gamine expira lentement, soulagée par ces quelques mots.
Le garçon essuya alors une larme qui avait du élire domicile sur une joue d'Ayano. "Au fait, moi...c'est Kazuma.." "Merci Kazuma." La petite pensionnaire recula de deux pas, elle essuya encore une fois son visage du bout de ses manches, les tâchant à nouveau. Elle humidifia ses lèvres du bout de la langue, puis, offrit un adorable sourire à Kazuma.

« Moi c'est Aya' !, elle passa de nouveau sa manche sur ses yeux, avec insistance, comme pour faire partir quelque chose, puis, elle regarda de nouveau Kazuma, le regard plus riche en assurance que précédemment, un sourire presque fourbe fleurissant sur ses lèvres, et puisque tu m'a promis de me ramener, tu vas devoir m'escorter jusqu'au Pensionnat Hikage ! » déclara-t-elle toute fière, les joues rougies par le froid et toutes ces émotions qui se bousculaient dans sa tête, tout en pointant en direction du chemin de retour au pensionnat.

La gamine avait oublié la valise du garçon, mais certainement pas le service qu'il venait de lui rendre. Elle enleva donc la coque de son iPod et, caché entre la coque et l'appareil, en sortit fièrement un billet de quelques phikas, suffisant pour payer deux tickets de bus ainsi que, avec un peu de chance, deux boissons. La brunette regarda Kazuma et lui sourit timidement, rangeant ses affaires dans la poche centrale de son pull.

« Allez, on y va, je veux plus rester dans ce parc. »
Elle attrapa ensuite la main gauche du garçon, tirant dessus gentiment tout en se mettant à marcher vers la sortie du Parc, souhaitant s'éloigner d'ici rapidement.

meow:
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MessageSujet: Re: Il court il court, le renard Il court il court, le renard EmptyVen 26 Déc - 18:45

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Je ne m'en sors pas mal finalement, pensais-je
La demoiselle n'avait pas eu peur de mon geste et, il me sembla même qu'elle c'était détendue, elle ne tremblait plus. Un petit son sorti de sa bouche pour finalement, s'envoler dans le parc.

Cette fille était vraiment mignonne, on aurait dit un petit chaton perdu et, tout le monde aime les chatons, c'est évident.


« Moi c'est Aya' ! Et puisque tu m'as promis de me ramener, tu vas devoir m'escorter jusqu'au Pensionnat Hikage ! »


Ma tête tournait un peu, sûrement à cause de toutes ces informations. Une chose est sûre, je vais l'accompagner car, c'est là ou je me rends. Sauf que je ne sais pas du tout ou c'est...

Aya' pointa le doigt dans une direction, c'était donc par ici...Exactement l'opposé ou je me dirigeais.


« Ca tombe bien ! Je vais là bas aussi, à vrai dire, je cherchais ou c'était.. »


Je ris doucement et senti qu'un léger flot de sang coulait toujours sur mes lèvres. Je passe ma main dessus et ne peut m'empêcher de grimacer, ça ne doit pas être très beau à voir.

La jeune fille prit son Ipod pour y sortir des phikas. C'était si loin que ça qu'il fallait prendre le bus? Elle m'attrape la main ce qui me surprit un peu. Je pouvais sentir ses doigts encore humides de ses larmes. Pour lui certifier mon accord, je serre un peu plus sa main et nous partons.


« Oui, allons-y »


HRP:
© Emy

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