« Kei IRUKA »
“I was smiling yesterday,I am smiling today and I will smile tomorrow.Simply because life is too short to cry for anything.” ― Santosh Kalwar.
carte d'identité
# avatar : Orihara Izaya dans Durarara
# p'tit nom : Bonne chance pour trouver plus court que Kei~
# né le : 13/08/94 # et a : 19 ans.
# sexe : Masculin.
# orientation sexuelle : Hétéro'
# atteint par le virus : [ ] oui [X] non
# régime : Interne
# club : Musique
# division : Etudes supérieures en arts
# façon de travailler : Acceptable. Kei a un bon, voire très bon niveau scolaire, mais il est capable de mieux faire. Le jeune homme s'intéresse beaucoup plus aux matières littéraires et artistiques qu'aux sciences, il n'aime pas particulièrement le sport bien qu'il soit très bon aussi dans ce domaine. Une participation à l'orale fréquente et un comportement agréable l'aident aussi à se faire apprécier des professeurs -du moins, de la plupart !-.
# loisirs : Charmer la gente féminine, jouer de la guitare, chanter, s'amuser...
# phobies : Les hôpitaux.
caractère
Gentil, amical, intelligent, talentueux, charismatique, à l'écoute, aimable, drôle, modeste, galant, enthousiaste... Kei fait partie de cette catégorie de personnes qui semblent être dépourvues de défaut. Pourtant, il ne s'en vante jamais, assurant d'être loin de M. Parfait.
Le jeune homme est avant tout charmant. Adossé à un arbre, chantant de sa voix somptueuse accompagnée de sa guitare non sans un sourire ravageur peint sur le visage, il a tendance à ensorceler les demoiselles assez rapidement. Mais attention, c'est un gentleman : pour lui, toutes les femmes sont belles et méritent des avances respectueuses et polies. Avoir des idées derrière la tête n'est pas son genre, même un simple baiser, car la pire chose qu'il pourrait faire serait de briser un cœur. Il se contente de belles phrases, d'un sourire, d'un clin d’œil et d'un baise-main.
Pour résumer, Iruka aime se faire désirer sans pour autant agir comme un mauvais garçon, mais il n'a jamais encore trouvé celle pour qu'il a été fait. Mais le pensionnat est grand, alors, qui sait ?~
Comme dit plus haut, c'est un jeune homme gentil avant tout. Il n'hésite pas à aller vers les autres, étant très sociable et peu timide. À l'inverse, il exprime très rarement de la colère ou de la tristesse, mais quand cela arrive, il est préférable d'être bien accroché à son siège. Très protecteur, il a tendance à s'allier de beaucoup de, comme il les appelle, "petites sœurs/petits frères" : ceux qu'il protégera et dont il s'occupera avec soin.
physique
N'y allons pas par quatre chemins : Kei est beau. Il est même plus que ça. Des yeux vert émeraude qui contrastent avec ses cheveux corbeaux sur un visage d'ange arborant bien souvent un sourire magnifique. Grand, fin, musclé, charismatique... Un physique à l'image de son mental.
Son style vestimentaire est assez simple en soit, restant généralement assez classe -grand amoureux des chemises-.
Mais ce qui attire le plus chez lui, c'est sans hésitation
sa voix suave. Chanteur hors-pair, il aime montrer ses talents en pleine rue, accompagné de sa fidèle guitare : c'est sa manière de se faire de l'argent de poche. Mais même lorsqu'il parle simplement, il fait souvent tourner bien des têtes. Un vrai trésor, ce Kei.
histoire
Quand vous voyez quelqu'un, assis sur le trottoir, un habitant de la rue... Quelle est votre réaction ? Vous sentez-vous supérieur ? Compatissant ? Est-ce que vous ressentez de la tristesse ?
De la peur ?
Pour certains, on est tous les mêmes. 50 ans, drogués, alcooliques, des gens repoussants et à l'hygiène négligée, des gens qui ne cherchent pas de travail, des gens qui le méritent. Ça me répugne. Personne ne le mérite.
Il est vrai que certains ont plus de chance, comme moi, par exemple. M'enfin, si vous le voulez bien, nous allons commencer depuis le début.
J'ai grandi avec ma mère. Mon père ? Je ne le connais pas, et heureusement. Il nous a abandonnés, alors son sort ne m'importe que très peu. Mais bref, passons... Une jeune maman célibataire, c'est difficile, surtout que j'étais très turbulent, et ça pendant plusieurs années. Cependant, elle n'a jamais abandonné, elle souriait toujours, quoi qu'il se passe. Elle m'apprenait à l'imiter, à toujours sourire, peu importe la situation.
Quelques années après, alors que je devais être âgé de 5 ans à peine, j'ai voulu commencer la guitare. Ma mère avait directement accepté, heureuse que je me trouve une passion. Elle s'attendait à que cela soit éphémère, que comme tous les enfants, j'allais changer d'avis en deux semaines maximum... Et pourtant.
À l'école, ça se passait plutôt bien. Au primaire, en tout cas. Car dès mes 11 ans, ma mère fut intégrée à l'hôpital pour une maladie qui m'était inconnue, et nos problèmes financiers n'arrangèrent absolument pas cette situation. Et moi, en chouette gamin, je suis allé dans la rue et j'ai donné un mini concert, dans le but de récolter un peu d'argent. Les artistes de rue me passionnaient depuis longtemps, et l'argent rapporté en un jour fut astronomique comparé à quoi je m'attendais, surtout en vue de mes quelques erreurs. Mais il faut dire que la bouille d'ange que j'arborais y avait sûrement un peu contribué...
Ce petit manège s'est amplifié , si bien que je ne rentrais jamais à la maison, même pas pour manger. De toute façon, il n'y avait plus rien. Mes seules trajectoires étaient le trottoir, le supermarché, l'école et l'hôpital. Je me suis désinscrit de la demi-pension et n'ai participé à aucun voyage scolaire : il fallait à tout prix économiser l'argent.
Ma mère était dans le coma, il n'y avait personne pour m'empêcher de l'aider. Je devais continuer.
L'état de celle-ci s'est aggravé de jour en jour, et c'est là que tout a dégringolé. Je ne pensais qu'à elle, alors j'ai vendu tout les meubles, je sautais des tonnes de repas, je dormais dehors. Plus d'amis, aucune famille connue... Elle était tout, alors je me devais de l'aider.
Je crois que c'est vers mes 16 ans que j'ai commencé à développer un respect pour la gente féminine. Déjà, il y avait cet amour pour ma mère, mais j'ai vu des choses dans la rue. Évidemment, je me cachais pour ne pas entrer dans une famille d'accueil, car je ne pourrais plus l'aider. Mais quand je dormais dehors -le loyer n'était pas payé depuis bien trop longtemps, on a fini par me foutre dehors-, tard le soir, des tas de femmes se faisaient agresser. Bien entendu, j'étais dans un coin dis "calme", je n'aurais jamais survécu sinon. Mais quand je devais prendre le métro par exemple, c'était surtout des femmes. Je n'aimais pas ça.
À ce moment, je commençais à être répugné des réactions des gens. J'étais "très beau et gentil", je "ne méritais pas ça". Et ensuite ? Toutes ces personnes ne m'aidaient absolument pas. C'est bien beau de pleurer sur le sort de quelqu'un, puis de l'oublier au bout de quelques secondes. L'humain, aussi petit soit-il, peut changer quelque chose.
Toutes ces filles qui tombaient sous mon charme, à faire parler de moi... Je suis toujours resté gentil et poli avec elles, comme avec tous les autres. Honnêtement, les compliments ne me dérangent absolument pas, au contraire... C'est juste qu'elles ont beau m'écouter toute la journée, personne ne venait me parler. Je ne demandais pas grand-chose, j'avais juste besoin d'un contact humain, ou je risquais de devenir totalement taré.
Ma mère est partie. À mes 17 ans. J'étais tellement bouleversé que j'ai passé le reste de la journée à errer sans but dans ma ville, si bien que je me suis perdu. J'ai fini par tomber de fatigue à côté d'un bar, ma fidèle guitare sur le dos. Puis je me suis levé, je suis allé sur l'autoroute, titubant à chaque pas. Je suis allé en face de cette voiture et j'ai attendu, les bras grands ouverts, et j'ai souri.
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Le psychologue de l'hôpital psychiatrique leva finalement ses yeux gris de son petit carnet pour regarder Kei.
"Donc... Comment vous êtes-vous senti à ce moment précis ?"
"Je sais pas si je saurais l'expliquer..." murmura Kei, couché sur le divan tandis qu'il scrutait le ciel. "Je me sentais bien, comme si j'avais besoin de le faire. Mais d'un côté, quelque chose m'en empêchait, me retenait. J'avais la boule au ventre, alors au dernier moment, j'ai pensé à ma mère... Et je me suis décalé."
"C'est donc là que ces deux jeunes adolescents se sont fait percuter." Le psychologue avait continué la phrase du jeune homme avec une sorte de gêne.
Celui-ci acquiesça avant de continuer.
"Exactement. Le survivant s'appelle Heto Azeka, les infirmiers me l'ont dis. Quand ils sont arrivés pour lui, je leur ai demandé de me prendre, parce que j'avais peur désormais. Puis ils m'ont emmené ici, et... Vous connaissez la suite."
Maintenant, vous allez sûrement me dire que je n'ai pas beaucoup parlé de mon expérience dans la rue. Tous les jours, à jouer de la guitare et à chanter, sans cesse, jusqu'à ce que je tombe de fatigue. Quand je n'avais pas assez pour boire ou manger, quand je ne pouvais pas me laver pendant une semaine, quand des petits cons me volaient mes seules richesses alors que je m'étais assoupi... En réalité, ça m'a traumatisé. La rue est, pardon, était ma maison, et pourtant, elle me fait tellement peur. On se dit que tout peut arriver. Un gamin de 13 ans qui survit sans trop de problèmes, un homme fort de 40 ans qui y meurt... Il n'y a pas de justice, pas de logique. Et moi, tout ce temps... Je chantais, je jouais, avec le sourire. Je riais, aussi.
J'ai éprouvé. J'ai vu. La souffrance, non, ce n'est pas un mot. La pauvreté, j'y ai grandi. La famine, j'en ai goûté. La honte, je l'ai bue. Là bas, je n'ai pas que joué de la musique pour gagner ma vie, j'ai fait des choses que je regrette aujourd'hui, je n'ose même pas vous en faire part. Tout ça pour quoi ? Elle est morte.
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Le docteur posa une main sur l'épaule de Kei puis lui offrit un sourire rassurant.
"Tout va bien, votre mère va bien. Avec les centres d'aide et votre future famille d'accueil, vous allez réapprendre à vivre. Tout ira bien."
Il ne m'avait pas menti. J'ai passé quelques semaines à peine dans cet endroit, de toute façon, je n'en avais pas vraiment besoin. J'ai vécu deux ans avec ma nouvelle famille, et j'ai tellement appris là-bas... À me battre à nouveau, à sourire franchement à nouveau, mais surtout à aimer à nouveau. Maintenant, j'ai 19 ans. Selon les gens, je suis beau, gentil, drôle, poli, et fort.
Mon nom est Kei Iruka, et aujourd'hui, je sais enfin ce que c'est de vivre. Je suis prêt à commencer réellement ma vie désormais, et avec le sourire. C'est ce qu'elle avait voulu pour moi.
préférences
# couleur : Vert
# chiffre : 2
# animal : Le loup.
# nourriture : Ramens FTW ! o/
# boisson : Boissons fruitées.
# objet : Sa guitare.
# lieu : Dehors.
# sport : Un sport collectif, peu importe lequel.
# linge : Simple, assez proche du hipster.
# style musical : Varié, ayant un grand faible pour les chansons provoquant de l'enthousiasme.
# matière scolaire : Musique et anglais.
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx« Derrière l'écran »
prt :3
Je m'appelle licorne mais on me surnomme licorne. Ma date de naissance, c'est le licorne, ce qui fait que j'ai 9000 ans.
Troisième compte de Nessa Faelivrin après Caitlyn Wesker o/
# je suis arrivé/e sur le forum en PEDALOOO
# je le trouve : PEDALOOO
# les cookies ? si j'aime ça ? PEDALOOO
# petit mot pour la fin : … Bateau à pédales.